Que le printemps, toute l’année
poursuive sa route
de saxophones amusés.
Que le brouillard et les arbres givrés
t’inspirent d’éclatants reflets,
de subtils accords béats
conjugués de mots-débats.
à destination de Gérard Delahaye (1978)
https://www.gerarddelahaye.fr/