Je n’ai pas su voir l’entaille,
provoquée par l’ancienne collision,
que j’avais oubliée.
Je connais pourtant tes cicatrices
par bien des côtés conductrices
et créatrices d’incertitudes.
Le train a poursuivi sa chute
Je ne l’ai pas vu venir
Seules les odeurs de cendres et de rouille
ont été restituées.
Nous pensions bien faire en fermant l’enclos
Nous nous y pensions à l’abri, à niveau.
Il n’en fut rien
La porte s’est ouverte
sur un avenir incertain.
Bravo Philippe.
Triste, mais très beau.
Dans l air du temps.
Bises
C’est un beau poème mais à quoi fait il référence ? Des pistes mais pas de solution définitive…